Le fils de Biden aime blaguer sur son « gros pénis » et traiter son avocat blanc de « négro »
Des SMS privés envoyés par Hunter Biden, le fils du président américain, lèvent encore un peu plus le voile sur la vie décousue du cinquantenaire. Cette fois-ci, c'est l’usage de plusieurs blagues racistes qui défraye la chronique outre-Atlantique.

Image d'illustration : Hunter Biden lors d'une intervention publique de son père, 2014. Derrière la facade proprette du fils du Président se cache en réalité un personnage trouble, adepte des stupéfiants, des prostituées, et des saillies racistes © Pablo Martinez Monsivais/AP/SIPA
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Par : V.A.
On ne choisit pas sa famille, dit l’adage bien connu. Sans doute, Joe Biden, tout bon père qu’il est, se serait volontiers passé des frasques de son fils cadet. La vie dissolue de ce dernier embarrasse particulièrement le locataire de la Maison Blanche, si soucieux de donner l’image de lui-même la plus lisse possible. Il y a quelques mois, le Daily Mail dévoilait déjà des photos de Hunter Biden faisant usage de cocaïne, d’alcool – souvent en compagnie de prostituées. Cette fois-ci, ce sont des SMS racistes et des blagues douteuses dont fait état le tabloïd, mercredi 9 juin. Dans le détail, plusieurs SMS indiquent que le fils Biden aime appeler son avocat, George Mesires, par le qualificatif « negro » – ce dernier étant pourtant blanc. Une pratique absolument gravissime aux Etats-Unis.
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Depuis plusieurs années, en effet, le terme « negro » – en anglais, « nigger » – incarne le tabou le plus absolu. Si l’Etat américain accorde à ses citoyens la plus totale liberté d’expression, la prononciation de ce terme par un blanc vaut quasiment mort sociale. Beaucoup ont perdu leur emploi, leur position après avoir prononcé, souvent sous l’effet de la colère, le terme interdit. A tel point, d’ailleurs, que partout aux Etats-Unis, les personnes voulant aborder le sujet se doivent de passer par une pudique périphrase, « le N-word » (littéralement, le « mot N »). Le reste des conversations entre Hunter Biden et son avocat ne vole guère plus haut. Entre deux plaisanteries sur la taille soi-disant avantageuse de son pénis, le fils du président américain demande à Mesires combien il lui doit, quel tarif ce dernier lui appliquera-t-il, etc. Philosophe résigné, l’homme de loi soupire : « C’est tellement agaçant quand tu prends tout avec frivolité ».
SOURCE :
valeursactuelles.com
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