Rapatriement des femmes de djihadistes : au piège de la mauvaise conscience

Depuis plusieurs mois, l'État français ne varie pas au sujet du retour des femmes de djihadistes : il se réserve le droit de choisir celles qu'il entend rapatrier. Une option qui soulève des passions contradictoires. Image d'illustration : Retenue depuis 2017 dans le camp de Roj, au nord-est de la Syrie, la djihadiste Emilie Köning, qui souhaite être rapatriée, "voit pas pourquoi" elle devrait aller en prison. Photo © DELIL SOULEIMAN / AFP • LIRE AUSSI : VIDÉO - “C’est ramadan”, “racisme” : un simple tweet de la marque Evian met en colère les musulmans Par : Victor-Isaac Anne / valeurs